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Les inspecteurs des Nations unies chargés de rechercher la présence d'armes de destruction massive avaient travaillé sous sa direction entre fin 2002 et début 2003 en Irak, sans rien trouver.
Blix s'était opposé à l'intervention militaire contre ce pays, qui a été déclenchée le 20 mars 2003 par l'ancien président américain George W Bush et l'ex-Premier ministre britannique Tony Blair au nom des armes de destruction massive qu'était censé détenir Saddam Hussein.
La Maison Blanche avait dépêché après l'invasion de l'Irak une équipe 1.000 inspecteurs chargés de fouiller le pays, qui n'avaient pas trouvé non plus d'armes prohibées. Aujourd'hui, Blix estime que la communauté internationale a encore moins de preuves sur l'existence d'un programme d'armement nucléaire en Iran.
Le groupe des 5+1 (Etats-Unis, Chine, Russie, Grande-Bretagne, France et Allemagne) a proposé d'atténuer certaines sanctions, qui étranglent l'économie iranienne, en échange de concessions de Téhéran, et renouvelé la demande faite à l'Iran d'arrêter l'enrichissement à 20% de l'uranium.